10 BONNES RAISONS DE REGARDER SHERLOCK
(Un post en gif. Pourquoi ? PARCE QUE JE PEUX.)
1 – C’est Sherlock Holmes
Ne criez pas tout de suite à l’argument débile : quand l’œuvre originale est déjà un tel classique, on peut être un petit peu rassuré que ce que l’on va voir à moins de chances de tourner au navet qu’une nouvelle création. Des enquêtes phénoménales faites par un détective phénoménal, accompagné par son pote docteur tout aussi phénoménal, ça ne donne qu’envie de le regarder. De plus, ça se passe à Londres, et même si l’on en a bouffé et bouffé, du Sherlock Holmes, on ne s’en lasse pas. Narquois, extrêmement intelligent, socialement inadapté, et comme il le dit lui-même un « high-functioning sociopath ». Et malgré ça, on l’adore. Même si Doyle lui-même ne pouvait plus se le voir, même s’il est détestable, un ignare comme on en voit peu, on l’adore et on en redemande.
2 - C’est remis au goût du jour
La série se déroule au 21 ème siècle, et Sherlock se débrouille bien mieux avec toute cette nouvelle technologie qu’avec les relations humaines. Socialement inadapté, je vous dis. Mais même si l’on pourrait se demander si la technologie ne risque pas d’enlever tout le charme des enquêtes typiquement sherlockienne, je vous répondrais que non, absolument pas. Au contraire, même si la technologie a une place importante dans les enquêtes, une grande place est quand même laissée au « flair » de Sherlock qui est toujours aussi brillant. Mais ainsi, Watson tiens un blog sur leurs aventures, Sherlock est un fanatique des textos…
3 – C’est plein d’humour
“ John Watson: C’est... C'était génial.
Sherlock Holmes: Oh, tu penses vraiment ?
John Watson: Bien sûr. C’est... Extraordinaire.
Sherlock Holmes: Ce n’est pas ce que les gens disent, habituellement.
John Watson: Que disent habituellement les gens ?
Sherlock Holmes: "Fous le camp!" ”
4 – Les acteurs sont absolument excellents
Benedict Cumberbatch (Khan dans Star Trek), un dieu à lui tout seul.
Martin Freeman (Bilbo Baggins dans le Hobbit), excellent dans son rôle de John Watson
Andrew Scott :
Louise Brealey :
Lara Pulver :
Rupert Graves :
Mark Gatiss :
Una Stubbs :
5 – Les scénarios tiennent la route
Et sont passionnants. Sérieusement, on ne s’ennuie pas devant un épisode de Sherlock Holmes. Que ce soit des suicides en série, l’apparition d’un faux Vermeer, la chasse à la bête de Baskerville, la lutte constante contre son ennemi de toujours Moriarty… Ils sont peaufinés, parfois un peu extravagants mais cela se pardonne aisément du fait que Sherlock ne choisirait pas des enquêtes ennuyeuses.
6 – C’est à Londres…
Et y a un paquet de belles vues.
Euuuh... Non, pas celle là (quoique)
7 – On se sent plus intelligent en le regardant
Sérieusement, on apprend des trucs. Pas forcément utile, évidemment (écrire « Chat chanceux » dans un vieux dialecte chinois du marché noir, mouarf), mais toujours intéressant. Par exemple, comment les vêtements des gens en apprennent sur eux. Ou alors c’est juste d’écouter des britanniques aux accents super classes qui fait cet effet.
Tu sens l'accent britannique, là ? L'accent qui te dit cup of tea et God save the queen ?
8 – La bande son est un orgasme musical
La preuve en musique avec le thème :
(David Arnold & Michael Price)
9 – Selon des gens plus experts que moi, c’est plutôt fidèle aux livres pour les caractères
Pas pour tout, mais il faut reconnaître que Sherlock est insupportable, dans cette série, et c'est quelque chose dont il manque parfois dans les autres représentations. Même si Steven Moffat a pris quelques libertés après en apportant de nouveaux personnages (l'équipe de la police, par exemple), ou en créant des liens là où il n'y en avait pas (Mrs Hudson a pris une plus grande place dans la série), on sent quand même que l'adaptation n'a pas pris toutes les libertés avec l'originale.
10 – Et puis avouez le…
Vous mourrez d’envie de voir Benedict Cumberbatch juste habillé d’un drap dans Buckingham Palace. Oh que oui.
Bref, pour terminer quelques photos qui résument la série toute entière :
[Oui ça y est c'est fini. Oui j'ai pété une durite. OUI MAIS J'ATTENDS LA SAISON TROIS MOI.]
(Un post en gif. Pourquoi ? PARCE QUE JE PEUX.)
1 – C’est Sherlock Holmes
Ne criez pas tout de suite à l’argument débile : quand l’œuvre originale est déjà un tel classique, on peut être un petit peu rassuré que ce que l’on va voir à moins de chances de tourner au navet qu’une nouvelle création. Des enquêtes phénoménales faites par un détective phénoménal, accompagné par son pote docteur tout aussi phénoménal, ça ne donne qu’envie de le regarder. De plus, ça se passe à Londres, et même si l’on en a bouffé et bouffé, du Sherlock Holmes, on ne s’en lasse pas. Narquois, extrêmement intelligent, socialement inadapté, et comme il le dit lui-même un « high-functioning sociopath ». Et malgré ça, on l’adore. Même si Doyle lui-même ne pouvait plus se le voir, même s’il est détestable, un ignare comme on en voit peu, on l’adore et on en redemande.
2 - C’est remis au goût du jour
La série se déroule au 21 ème siècle, et Sherlock se débrouille bien mieux avec toute cette nouvelle technologie qu’avec les relations humaines. Socialement inadapté, je vous dis. Mais même si l’on pourrait se demander si la technologie ne risque pas d’enlever tout le charme des enquêtes typiquement sherlockienne, je vous répondrais que non, absolument pas. Au contraire, même si la technologie a une place importante dans les enquêtes, une grande place est quand même laissée au « flair » de Sherlock qui est toujours aussi brillant. Mais ainsi, Watson tiens un blog sur leurs aventures, Sherlock est un fanatique des textos…
3 – C’est plein d’humour
“ John Watson: C’est... C'était génial.
Sherlock Holmes: Oh, tu penses vraiment ?
John Watson: Bien sûr. C’est... Extraordinaire.
Sherlock Holmes: Ce n’est pas ce que les gens disent, habituellement.
John Watson: Que disent habituellement les gens ?
Sherlock Holmes: "Fous le camp!" ”
4 – Les acteurs sont absolument excellents
Benedict Cumberbatch (Khan dans Star Trek), un dieu à lui tout seul.
Martin Freeman (Bilbo Baggins dans le Hobbit), excellent dans son rôle de John Watson
Andrew Scott :
Louise Brealey :
Lara Pulver :
Rupert Graves :
Mark Gatiss :
Una Stubbs :
5 – Les scénarios tiennent la route
Et sont passionnants. Sérieusement, on ne s’ennuie pas devant un épisode de Sherlock Holmes. Que ce soit des suicides en série, l’apparition d’un faux Vermeer, la chasse à la bête de Baskerville, la lutte constante contre son ennemi de toujours Moriarty… Ils sont peaufinés, parfois un peu extravagants mais cela se pardonne aisément du fait que Sherlock ne choisirait pas des enquêtes ennuyeuses.
6 – C’est à Londres…
Et y a un paquet de belles vues.
Euuuh... Non, pas celle là (
7 – On se sent plus intelligent en le regardant
Sérieusement, on apprend des trucs. Pas forcément utile, évidemment (écrire « Chat chanceux » dans un vieux dialecte chinois du marché noir, mouarf), mais toujours intéressant. Par exemple, comment les vêtements des gens en apprennent sur eux. Ou alors c’est juste d’écouter des britanniques aux accents super classes qui fait cet effet.
Tu sens l'accent britannique, là ? L'accent qui te dit cup of tea et God save the queen ?
8 – La bande son est un orgasme musical
La preuve en musique avec le thème :
(David Arnold & Michael Price)
9 – Selon des gens plus experts que moi, c’est plutôt fidèle aux livres pour les caractères
Pas pour tout, mais il faut reconnaître que Sherlock est insupportable, dans cette série, et c'est quelque chose dont il manque parfois dans les autres représentations. Même si Steven Moffat a pris quelques libertés après en apportant de nouveaux personnages (l'équipe de la police, par exemple), ou en créant des liens là où il n'y en avait pas (Mrs Hudson a pris une plus grande place dans la série), on sent quand même que l'adaptation n'a pas pris toutes les libertés avec l'originale.
10 – Et puis avouez le…
Vous mourrez d’envie de voir Benedict Cumberbatch juste habillé d’un drap dans Buckingham Palace. Oh que oui.
Bref, pour terminer quelques photos qui résument la série toute entière :
[Oui ça y est c'est fini. Oui j'ai pété une durite. OUI MAIS J'ATTENDS LA SAISON TROIS MOI.]