Aujourd'hui, il n'est pas venu en cours. J'ai pensé à lui envoyer un SMS, mais quand j'ai vu que le dernier de notre conversation n'était pas de moi, j'ai senti le courage monter en moi. J'me suis dit : "T'inquiète, Ambre. Tu disais que le sexe fort, c'était toi, alors tu comptais le plus. Tu disais que tu réussirais. Jusque là, t'as rien réussi du tout. Alors tu vas lever la tête, et putain, tu vas avancer, parce que tomber, tu peux le faire, mais bordel, rester sur le bas-côté, ça te ressemble pas. Alors je m'en fout, tu cours, tu voles, tu cries, tu hurles, tu te pisses dessus si tu veux [oui, j'avais envie d'aller aux toilettes], mais tu te bouges, parce que lui, il ne t'as pas attendue pour placer un pied devant l'autre."
Puis est venu le moment où j'ai vu que la deuxième fenêtre ouverte sur Google était son Twitter. Je me suis sentie très faible.
Et je me suis souvenue. Ça fait plus d'un mois, et je l'ai encore dans la peau.
Et la seule solution qui me vient à l'esprit, c'est que quelqu'un prenne sa place. Tout de suite.
Sauf que ça ne fonctionne pas comme cela. C'est plus compliqué... Et bordel, j'ai l'impression que je vais jamais y arriver.
Puis est venu le moment où j'ai vu que la deuxième fenêtre ouverte sur Google était son Twitter. Je me suis sentie très faible.
Et je me suis souvenue. Ça fait plus d'un mois, et je l'ai encore dans la peau.
Et la seule solution qui me vient à l'esprit, c'est que quelqu'un prenne sa place. Tout de suite.
Sauf que ça ne fonctionne pas comme cela. C'est plus compliqué... Et bordel, j'ai l'impression que je vais jamais y arriver.