Bonjour à toutes et tous...surtout toutes j'ai l'impression sur ce forum ( que je trouve très sympatique en passant ).
Je me présente rapidement pour mon premier message posté sur ce site ^^
Je suis étudiant en 2è année de classe préparatoire dans une école d'ingénieur, 19 ans, et j'écris depuis plusieurs années quelques poèmes, dont je n'ai pour la plupart, pas gardé trace . Enfin bref, ce n'est pas là le sujet, donc je me suis inscrit ici dans le but de faire partager ce dans quoi je viens de me lancer , et pour aussi avoir quelques avis objectifs .
Je me suis lancé dans une écriture plus ambitieuse dont j'espère avoir le courage d'avancer
Bonne lecture à vous, en espérant que cela vous plaise, ô amateurs de fantastique^^, j'attends vos humbles avis ( n'oubliez pas que je n'y connais rien en l'art et la manière d'écrire...je suis matheux de base , on je rigole, soyez honnêtes s'il vous plait )
CHAPITRE I
L'aube se levait, rouge. Seuls quelques nuages noirs épars
apparaissaient à la pâle lueur du soleil matinal. Ces nuages
compacts alourdissaient et surtout obscurcissaient la scène. Un ciel
rouge, des nuages noirs, une terrible journée se préparait... Ce
décor éclairé de lumière pourpre avec de nombreuses zones sombres
du fait des nuages pouvait décourager un Être à se lever ce jour.
D'autant plus que l'orage menaçait, rien ni personne n'aurais été
tenté de rester au beau milieu de cette plaine, pourtant calme et
florissante durant la saison estivale. En effet, l'été était
serein et apaisant ici, le temps aussi était clément sur cette
vaste plaine. Seulement, un jour d'hiver comme celui-ci prévoyait
une météo plutôt maussade et violente. D'autant plus que le temps
n'était pas la réelle menace mais juste un fait banal des
circonstances. Parce que ce n'était pas un facteur d'angoisse, de
peur certes en vue de la violence des orages dans la région,
néanmoins il y avait une frontière jusqu'à cette angoisse que
présentait ce jour...
L'atmosphère était tendue, quelqu'un seul, ici, en perdrait sa
propre raison car quelque chose d'important se passait et cela se
ressentait. Au loin, aucun oiseau, aucun piaillement,, aucun
bruissement: rien. Et c'était cela qui frustrait parce qu'aucun
animal vivant ne donnait signe de présence. Un terrain de chasse
pour prédateur? Une méfiance parmi les animaux; les proies?Rien.
Juste un silence de plomb rodait, la mort se pavanait en ce lieu, en
apparence maudit par les ombres, car même le vent se tut à cet
instant. Le ciel assombrit, le temps paraissant immobile, la terreur
naissait.
Au loin, des bruits métalliques commencèrent à retentir par delà
la plaine, réguliers, saccadés, ces sons perturbants s'amoncelèrent
en amont et en aval, à l'est ainsi qu'à l'ouest; partout
s'accumulait, bruissements réguliers et frictions de métal.
L'affolement grondait soudain. Tous les sens se perdaient, la terreur
devenait souveraine car la scène se dévoilait... Comment croire une
telle chose? Les témoins de ce spectacle ne savaient que penser. La
furie naissante de ces hommes et de ces femmes apparus de chaque
côté de la plaine faisaient trembler l'air d'un immonde goût de
violence. Un désordre de sons résonnait de part et d'autre de ce
lieu. L'orage aussi s'était mis à gronder, le bruit du tonnerre,
puissant, recouvrait presque le bruit de la masse humaine, de la
foule de soldats présente devant eux. Les éclairs, de plus en plus
fréquents, de plus en plus proches montraient l'identité de ces
êtres déferlants de haine et de rage en ce lieu, maintenant maudit
pas les êtres humains. Laissant se dévoiler ce spectacle, l'orage
montrait ainsi son pouvoir implacable en se déchaînant sur le monde
et au sein de ce qui semble devenir, seconde après seconde, un
champs de bataille.
Des rangées d'êtres humains apparaissaient par delà l'horizon, de
plus en plus d'hommes mais aussi de femmes se massaient , un groupe
en face de l'autre. Des milliers d'Êtres étaient impliqués ici, il
n'y avait plus de doutes: ils étaient sur un champs de bataille, et
leur point de vue légèrement en altitude sur le reste de l'horizon
permettait de voir, grâce aux éclairs, un nombre incalculable de
soldats, de montures et même de chars. Le plus facile à distinguer
était ces derniers, tirés par de puissantes bêtes s'apparentant à
des espèces de gros loups puissamment protégés par une cuirasse de
métal laissant juste apparaître, sous un pelage épais, des muscles
saillants. La taille de ces fauves était telle que l'on distinguait
la longueur de leurs crocs à une soixantaine de mètres. La gueule
s'approchant de la dimension de celle d'un cheval, portait un mord en
acier de la taille d'un avant bras humain, qui étincelait de loin et
laissait entre voir des muscles que l'on ne soupçonnerait guère
chez un animal; pas même chez un carnassier. Le dos hérissé de
pics en acier ajoutait un côté encore plus meurtrier et terrifiant
chez ces bêtes, pourtant de la hauteur d'un homme de grande taille.
Les pattes tendus, les muscles bandés, deux loups comme ceux-là
traînaient ainsi un char dans lequel se trouvaient deux hommes pour
le manœuvrer ainsi qu'un autre pour attaquer quiconque serait à
portée à l'aide d'une lance légère mais très effilée. Chaque
char disposant de deux roues, était équipé de faux acérées d'une
cinquantaine de centimètres, à chacune d'entre elle, pour pénétrer
aisément la chair des soldats ou montures adverses lors d'une charge
mortelle. Environ deux-cents chars comme ceux-là étaient alignés
en dix colonnes au centre de l'armée venant du Sud. Les flancs de
ces chars étaient soutenus par une immense cavalerie composée de
grands équidés équipés pour la guerre. Leurs cavaliers,
lourdement défendus par une épaisse cotte de mailles, un bouclier
triangulaire plus manœuvrable que les boucliers classiques et
surmontés de pics pour frapper; une armure épaisse en bronze et un
heaume, en bronze lui aussi. En guise d'arme, ils possédaient
chacun une longue lance de cavalerie conçue pour une charge
dévastatrice. Aux extrémités des rangs et derrière la cavaliers
se trouvaient des fantassins, il s'agissait de lanciers d'ailleurs
eux aussi bien protégés par une solide cuirasse.
Contrairement au front Sud, seuls quelques lanciers étaient présents
au Nord, ils formaient plutôt une minorité car le reste était, en
fait, des hallebardiers. Ceux-ci portaient une armure moins épaisse
que les lanciers, mais en contre partie, ils possédaient une cotte
de mailles descendant jusqu'aux genoux, seuls quelques épaulettes
et un léger buste en acier la recouvraient. Il s'agissait d'un
compromis... pour une arme moins maniable, d'avoir une armure
efficace mais permettant plus de libertés de mouvements. Ces
hallebardiers, constituant les principales troupes de l'armée du
Nord, étaient répartis sur la majeure partie du front. Néanmoins,
il y avait aussi un certain nombre de cavaliers placés en colonnes
entre les rangs des fantassins, sans doute pour appuyer ces derniers
lors d'une bataille.
De ce côté du champs, pas de chevaux, ni de loups d'ailleurs... il
s'agissait plutôt de créatures plus exotiques, s'approchant à la
fois du gryphon et du reptile. En effet, leur dos, le haut de leurs
crâne ainsi que les parties extérieures de leurs pattes étaient
recouverts de plumes brunâtres, le reste se composait d'écailles
saillantes d'une couleurs bleue très sombre tirant vert le noir. Ces
créatures évoluaient sur leur deux membres inférieurs, les deux
autres étaient atrophiés mais possédaient tout de même de longues
griffes acérés. Plus petits que les loups présents en face, ils
n'en étaient pas moins terrifiant, au contraire...car, en se
redressant bien sur leurs pattes arrières, ces reptiles faisaient
quand même pas moins de la taille d'un homme moyen. Et leur liberté
de mouvement leur donnait une mobilité accrue par rapport aux
quadrupèdes, ce qui conférait à l'armée le pouvoir de charges
dévastatrices. Ces cavaliers étaient tous des tirailleurs, arbalète
en main, ils étaient là pour lacérer les flancs des régiments
ennemis et disposés ainsi, donnaient un confort non négligeable et
une protection aux hallebardiers. La présence d'une telle cavalerie
et d'un tel équipement laissait penser que l'armée Nord assaillait
celle du Sud, qui elle, avec un équipement plus lourd, montrait que
ce terrain était le leur en vue de l'impossibilité de voyager avec
une telle quantité de matériel de guerre.
L'atmosphère s'alourdissait secondes après secondes quand soudain,
au Sud, une femme en robe sombre sur un char, entourée par deux
hommes encapuchonnés apparut en dehors de l'Ost qui semblait être
le sien. Elle attendit d'être à une centaine de mètres de ses
soldats, évalua longuement les nuages, puis le front faisant face
devant elle. Impassible, elle leva lentement sa main gauche à
hauteur de ces yeux et en une seconde, le vent, le bruit, le
temps...tout s’arrêta net. Un grondement retentit au loin et un
éclair s'abattit dans un rang de hallebardiers, les chars
chargèrent. L'assaut de la haine était lancée et...
… Le réveil de baptiste sonna, Charlène à ses côtés, encore
endormie, la chambre encore dans la pénombre.
édit: j'ai essayer d'améliorer le format au mieux pour la lecture...mais vous savez...le passage traitement de texte/ forum n'est pas toujours évident
Je me présente rapidement pour mon premier message posté sur ce site ^^
Je suis étudiant en 2è année de classe préparatoire dans une école d'ingénieur, 19 ans, et j'écris depuis plusieurs années quelques poèmes, dont je n'ai pour la plupart, pas gardé trace . Enfin bref, ce n'est pas là le sujet, donc je me suis inscrit ici dans le but de faire partager ce dans quoi je viens de me lancer , et pour aussi avoir quelques avis objectifs .
Je me suis lancé dans une écriture plus ambitieuse dont j'espère avoir le courage d'avancer
Bonne lecture à vous, en espérant que cela vous plaise, ô amateurs de fantastique^^, j'attends vos humbles avis ( n'oubliez pas que je n'y connais rien en l'art et la manière d'écrire...je suis matheux de base , on je rigole, soyez honnêtes s'il vous plait )
CHAPITRE I
L'aube se levait, rouge. Seuls quelques nuages noirs épars
apparaissaient à la pâle lueur du soleil matinal. Ces nuages
compacts alourdissaient et surtout obscurcissaient la scène. Un ciel
rouge, des nuages noirs, une terrible journée se préparait... Ce
décor éclairé de lumière pourpre avec de nombreuses zones sombres
du fait des nuages pouvait décourager un Être à se lever ce jour.
D'autant plus que l'orage menaçait, rien ni personne n'aurais été
tenté de rester au beau milieu de cette plaine, pourtant calme et
florissante durant la saison estivale. En effet, l'été était
serein et apaisant ici, le temps aussi était clément sur cette
vaste plaine. Seulement, un jour d'hiver comme celui-ci prévoyait
une météo plutôt maussade et violente. D'autant plus que le temps
n'était pas la réelle menace mais juste un fait banal des
circonstances. Parce que ce n'était pas un facteur d'angoisse, de
peur certes en vue de la violence des orages dans la région,
néanmoins il y avait une frontière jusqu'à cette angoisse que
présentait ce jour...
L'atmosphère était tendue, quelqu'un seul, ici, en perdrait sa
propre raison car quelque chose d'important se passait et cela se
ressentait. Au loin, aucun oiseau, aucun piaillement,, aucun
bruissement: rien. Et c'était cela qui frustrait parce qu'aucun
animal vivant ne donnait signe de présence. Un terrain de chasse
pour prédateur? Une méfiance parmi les animaux; les proies?Rien.
Juste un silence de plomb rodait, la mort se pavanait en ce lieu, en
apparence maudit par les ombres, car même le vent se tut à cet
instant. Le ciel assombrit, le temps paraissant immobile, la terreur
naissait.
Au loin, des bruits métalliques commencèrent à retentir par delà
la plaine, réguliers, saccadés, ces sons perturbants s'amoncelèrent
en amont et en aval, à l'est ainsi qu'à l'ouest; partout
s'accumulait, bruissements réguliers et frictions de métal.
L'affolement grondait soudain. Tous les sens se perdaient, la terreur
devenait souveraine car la scène se dévoilait... Comment croire une
telle chose? Les témoins de ce spectacle ne savaient que penser. La
furie naissante de ces hommes et de ces femmes apparus de chaque
côté de la plaine faisaient trembler l'air d'un immonde goût de
violence. Un désordre de sons résonnait de part et d'autre de ce
lieu. L'orage aussi s'était mis à gronder, le bruit du tonnerre,
puissant, recouvrait presque le bruit de la masse humaine, de la
foule de soldats présente devant eux. Les éclairs, de plus en plus
fréquents, de plus en plus proches montraient l'identité de ces
êtres déferlants de haine et de rage en ce lieu, maintenant maudit
pas les êtres humains. Laissant se dévoiler ce spectacle, l'orage
montrait ainsi son pouvoir implacable en se déchaînant sur le monde
et au sein de ce qui semble devenir, seconde après seconde, un
champs de bataille.
Des rangées d'êtres humains apparaissaient par delà l'horizon, de
plus en plus d'hommes mais aussi de femmes se massaient , un groupe
en face de l'autre. Des milliers d'Êtres étaient impliqués ici, il
n'y avait plus de doutes: ils étaient sur un champs de bataille, et
leur point de vue légèrement en altitude sur le reste de l'horizon
permettait de voir, grâce aux éclairs, un nombre incalculable de
soldats, de montures et même de chars. Le plus facile à distinguer
était ces derniers, tirés par de puissantes bêtes s'apparentant à
des espèces de gros loups puissamment protégés par une cuirasse de
métal laissant juste apparaître, sous un pelage épais, des muscles
saillants. La taille de ces fauves était telle que l'on distinguait
la longueur de leurs crocs à une soixantaine de mètres. La gueule
s'approchant de la dimension de celle d'un cheval, portait un mord en
acier de la taille d'un avant bras humain, qui étincelait de loin et
laissait entre voir des muscles que l'on ne soupçonnerait guère
chez un animal; pas même chez un carnassier. Le dos hérissé de
pics en acier ajoutait un côté encore plus meurtrier et terrifiant
chez ces bêtes, pourtant de la hauteur d'un homme de grande taille.
Les pattes tendus, les muscles bandés, deux loups comme ceux-là
traînaient ainsi un char dans lequel se trouvaient deux hommes pour
le manœuvrer ainsi qu'un autre pour attaquer quiconque serait à
portée à l'aide d'une lance légère mais très effilée. Chaque
char disposant de deux roues, était équipé de faux acérées d'une
cinquantaine de centimètres, à chacune d'entre elle, pour pénétrer
aisément la chair des soldats ou montures adverses lors d'une charge
mortelle. Environ deux-cents chars comme ceux-là étaient alignés
en dix colonnes au centre de l'armée venant du Sud. Les flancs de
ces chars étaient soutenus par une immense cavalerie composée de
grands équidés équipés pour la guerre. Leurs cavaliers,
lourdement défendus par une épaisse cotte de mailles, un bouclier
triangulaire plus manœuvrable que les boucliers classiques et
surmontés de pics pour frapper; une armure épaisse en bronze et un
heaume, en bronze lui aussi. En guise d'arme, ils possédaient
chacun une longue lance de cavalerie conçue pour une charge
dévastatrice. Aux extrémités des rangs et derrière la cavaliers
se trouvaient des fantassins, il s'agissait de lanciers d'ailleurs
eux aussi bien protégés par une solide cuirasse.
Contrairement au front Sud, seuls quelques lanciers étaient présents
au Nord, ils formaient plutôt une minorité car le reste était, en
fait, des hallebardiers. Ceux-ci portaient une armure moins épaisse
que les lanciers, mais en contre partie, ils possédaient une cotte
de mailles descendant jusqu'aux genoux, seuls quelques épaulettes
et un léger buste en acier la recouvraient. Il s'agissait d'un
compromis... pour une arme moins maniable, d'avoir une armure
efficace mais permettant plus de libertés de mouvements. Ces
hallebardiers, constituant les principales troupes de l'armée du
Nord, étaient répartis sur la majeure partie du front. Néanmoins,
il y avait aussi un certain nombre de cavaliers placés en colonnes
entre les rangs des fantassins, sans doute pour appuyer ces derniers
lors d'une bataille.
De ce côté du champs, pas de chevaux, ni de loups d'ailleurs... il
s'agissait plutôt de créatures plus exotiques, s'approchant à la
fois du gryphon et du reptile. En effet, leur dos, le haut de leurs
crâne ainsi que les parties extérieures de leurs pattes étaient
recouverts de plumes brunâtres, le reste se composait d'écailles
saillantes d'une couleurs bleue très sombre tirant vert le noir. Ces
créatures évoluaient sur leur deux membres inférieurs, les deux
autres étaient atrophiés mais possédaient tout de même de longues
griffes acérés. Plus petits que les loups présents en face, ils
n'en étaient pas moins terrifiant, au contraire...car, en se
redressant bien sur leurs pattes arrières, ces reptiles faisaient
quand même pas moins de la taille d'un homme moyen. Et leur liberté
de mouvement leur donnait une mobilité accrue par rapport aux
quadrupèdes, ce qui conférait à l'armée le pouvoir de charges
dévastatrices. Ces cavaliers étaient tous des tirailleurs, arbalète
en main, ils étaient là pour lacérer les flancs des régiments
ennemis et disposés ainsi, donnaient un confort non négligeable et
une protection aux hallebardiers. La présence d'une telle cavalerie
et d'un tel équipement laissait penser que l'armée Nord assaillait
celle du Sud, qui elle, avec un équipement plus lourd, montrait que
ce terrain était le leur en vue de l'impossibilité de voyager avec
une telle quantité de matériel de guerre.
L'atmosphère s'alourdissait secondes après secondes quand soudain,
au Sud, une femme en robe sombre sur un char, entourée par deux
hommes encapuchonnés apparut en dehors de l'Ost qui semblait être
le sien. Elle attendit d'être à une centaine de mètres de ses
soldats, évalua longuement les nuages, puis le front faisant face
devant elle. Impassible, elle leva lentement sa main gauche à
hauteur de ces yeux et en une seconde, le vent, le bruit, le
temps...tout s’arrêta net. Un grondement retentit au loin et un
éclair s'abattit dans un rang de hallebardiers, les chars
chargèrent. L'assaut de la haine était lancée et...
… Le réveil de baptiste sonna, Charlène à ses côtés, encore
endormie, la chambre encore dans la pénombre.
édit: j'ai essayer d'améliorer le format au mieux pour la lecture...mais vous savez...le passage traitement de texte/ forum n'est pas toujours évident