Je ne n'avais pas compris tout de suite. Les yeux brillant de Cowell auraient du m'avertir.
"Département des accidents et catastrophes magiques"
Là aussi je mis quelques secondes à comprendre. Devant ma réflexion le sorcier éclata de rire, et se retrouva plié en deux, titubant pour sortir. C'est bon j'avais ma réponse. Une catastrophe magique hein? Ah bah ça il s'en souviendra je pense.
Je le vis s'assoir sur un rebord de fenêtre. Les bras croisés, comme à mon habitude, je le regardais en souriant. L'envie d'ouvrir la fenêtre pour le faire tomber m'effleura l'esprit mais j'oubliais tout de suite. Je ne savais qui ces fenêtres étaient réels et à quel étage nous étions.
Mon esprit ne cessait de m'envoyer des idées de vengeances, inutile certes, mais plutôt comique. Je me mordis les joues pour ne pas rire lorsqu'Embri entra dans la danse et m'envoya l'image d'un Cowell de dos avec marqué en lettres lumineuse sur sa veste "Je suis une catastrophe magique". Je repoussais l'idée que je jugeais trop enfantine.
Pendant ce temps, le petit sorcier s'était calmé. Il essuyait des larmes de rire, le visage toujours hilare. Ses cheveux bleus me donnèrent une idée. Je me souvenais, pour y avoir assister, que l'Héritière Impériale d'Omois,avait des serpent de couleur qui laissaient leur couleur sur le sol lorsqu'ils rampaient. Je n'avais même pas besoin de chercher la couleur. Il était à CDC, je n'avais qu'à prendre le superbe bleu turquoise de notre maison.
Je mettais la main devant ma bouche et chuchotais : "Par le Colorus, sous tes pas, turquoise, le sol deviendra"
Je comprimais ma magie vert émeraude en un mince filet, en même temps Embri, transformé en chien, aboya violemment. Cowell porta son attention sur lui.
- Chut Embri, tais-toi, lui intima-t-il
Le labrador s'assit tranquillement et laissa pendre sa langue.
J'adressais un signe à mon Familier pour le remercier.
- Bon y va? demandais-je soudain
- Euh oui oui, suis-moi.
Il se leva, posa les pieds au sol et avança. Je me mordis les lèvres pour ne pas éclater de rire. Je n'étais pas sûre que la formule marcherait. Elle avait fait plus que ça. Non seulement ses traces de pas étaient bleue turquoise, mais en plus elles étaient fluorescente et s'étendaient sur le sol.
- Je crois que j'y suis allée un peu fort, pensais-je
Bientôt le sol vert du Ministère finirait bleu.
"Département des accidents et catastrophes magiques"
Là aussi je mis quelques secondes à comprendre. Devant ma réflexion le sorcier éclata de rire, et se retrouva plié en deux, titubant pour sortir. C'est bon j'avais ma réponse. Une catastrophe magique hein? Ah bah ça il s'en souviendra je pense.
Je le vis s'assoir sur un rebord de fenêtre. Les bras croisés, comme à mon habitude, je le regardais en souriant. L'envie d'ouvrir la fenêtre pour le faire tomber m'effleura l'esprit mais j'oubliais tout de suite. Je ne savais qui ces fenêtres étaient réels et à quel étage nous étions.
Mon esprit ne cessait de m'envoyer des idées de vengeances, inutile certes, mais plutôt comique. Je me mordis les joues pour ne pas rire lorsqu'Embri entra dans la danse et m'envoya l'image d'un Cowell de dos avec marqué en lettres lumineuse sur sa veste "Je suis une catastrophe magique". Je repoussais l'idée que je jugeais trop enfantine.
Pendant ce temps, le petit sorcier s'était calmé. Il essuyait des larmes de rire, le visage toujours hilare. Ses cheveux bleus me donnèrent une idée. Je me souvenais, pour y avoir assister, que l'Héritière Impériale d'Omois,avait des serpent de couleur qui laissaient leur couleur sur le sol lorsqu'ils rampaient. Je n'avais même pas besoin de chercher la couleur. Il était à CDC, je n'avais qu'à prendre le superbe bleu turquoise de notre maison.
Je mettais la main devant ma bouche et chuchotais : "Par le Colorus, sous tes pas, turquoise, le sol deviendra"
Je comprimais ma magie vert émeraude en un mince filet, en même temps Embri, transformé en chien, aboya violemment. Cowell porta son attention sur lui.
- Chut Embri, tais-toi, lui intima-t-il
Le labrador s'assit tranquillement et laissa pendre sa langue.
J'adressais un signe à mon Familier pour le remercier.
- Bon y va? demandais-je soudain
- Euh oui oui, suis-moi.
Il se leva, posa les pieds au sol et avança. Je me mordis les lèvres pour ne pas éclater de rire. Je n'étais pas sûre que la formule marcherait. Elle avait fait plus que ça. Non seulement ses traces de pas étaient bleue turquoise, mais en plus elles étaient fluorescente et s'étendaient sur le sol.
- Je crois que j'y suis allée un peu fort, pensais-je
Bientôt le sol vert du Ministère finirait bleu.